La facturation est un élément clé de la gestion financière d’une entreprise. Un logiciel de facturation efficace permet de gagner du temps, d’optimiser la gestion des paiements et d’assurer la conformité légale des documents émis.
Mais face à la diversité des solutions disponibles, comment choisir le meilleur logiciel de facturation pour son entreprise ?
Dans cet article, nous allons passer en revue les critères essentiels à prendre en compte pour faire le bon choix, en fonction des besoins de votre entreprise et de votre secteur d’activité.
Avant de choisir un logiciel de facturation, il est crucial d’identifier vos besoins spécifiques.
Quelle est la taille de mon entreprise (TPE, PME, ETI) ?
Combien de factures suis-je amené à gérer chaque mois ?
Ai-je besoin d’un logiciel intégré avec mon ERP ou CRM ?
Dois-je gérer plusieurs devises ou plusieurs taux de TVA ?
Ai-je besoin de facturation récurrente (abonnements) ?
Le logiciel doit-il être accessible en mobilité (SaaS, application mobile) ?
💡 Exemple : Un freelance n’aura pas les mêmes besoins qu’une entreprise avec plusieurs filiales et une gestion comptable complexe.
La conformité légale est un point fondamental lors du choix d’un logiciel de facturation. En France, les entreprises doivent respecter plusieurs réglementations.
✅ Norme anti-fraude à la TVA : obligation d’utiliser un logiciel certifié (NF525 ou équivalent) pour éviter la fraude fiscale.
✅ Facturation électronique obligatoire (2026) : assurer la compatibilité avec la réforme de la facturation électronique et les plateformes PDP/PPF.
✅ Archivage sécurisé : conservation des factures sur une période légale de 10 ans.
✅ RGPD : protection des données clients et conformité aux réglementations européennes.
💡 Exemple : Une entreprise travaillant avec des clients européens devra veiller à la gestion de la TVA intracommunautaire et aux obligations de facturation électronique.
Un bon logiciel de facturation doit proposer des fonctionnalités adaptées à votre activité.
Édition et personnalisation des factures (logo, mentions légales, devis-to-facture).
Automatisation des paiements et des relances clients.
Gestion des abonnements et facturation récurrente.
Multi-devises et multi-TVA pour les entreprises à l’international.
Suivi des paiements et gestion des impayés.
Export comptable et intégration avec ERP, CRM, logiciel de comptabilité.
Tableaux de bord et reporting financier pour une meilleure analyse des revenus.
💡 Exemple : Un logiciel comme Eden ERP & CRM permet de générer automatiquement des factures récurrentes et d’envoyer des rappels aux clients en retard de paiement.
Les logiciels de facturation peuvent être hébergés sur le cloud (SaaS) ou installés en local (On-Premise).
✅ Accessibilité depuis n’importe quel appareil connecté. ✅ Mises à jour automatiques et conformité assurée. ✅ Moins de gestion technique en interne.
✅ Contrôle total sur l’hébergement et les données. ✅ Personnalisation avancée possible. ✅ Coût unique d’acquisition (vs abonnement SaaS récurrent).
💡 Exemple : Une PME avec une équipe en télétravail préférera un logiciel SaaS, alors qu’une entreprise traitant des données sensibles optera pour une solution On-Premise.
Un logiciel de facturation intuitif permet de réduire le temps de formation et d’améliorer la productivité.
✅ Interface claire et facile à prendre en main. ✅ Automatisation des tâches répétitives. ✅ Mobilité : application mobile ou interface responsive. ✅ Support client réactif et documentation disponible.
💡 Exemple : Un logiciel avec une interface glisser-déposer pour créer des factures accélère la prise en main.
Le prix d’un logiciel de facturation varie selon les fonctionnalités et le mode de tarification.
🔹 Abonnement mensuel (SaaS) : coût récurrent, mais accès aux mises à jour.
🔹 Licence unique (On-Premise) : paiement unique, mais nécessité de gérer les mises à jour.
🔹 Modèle freemium : version gratuite avec options payantes (facturation limitée en nombre de clients, fonctionnalités avancées restreintes).
💡 Exemple : Une start-up peut commencer avec un logiciel freemium, puis évoluer vers un abonnement premium à mesure que ses besoins augmentent.
Le choix d’un logiciel de facturation dépend de votre activité, de votre budget et de vos besoins spécifiques.
✅ Définir les besoins (taille, devises, abonnements, connectivité).
✅ Vérifier la conformité légale (TVA, facturation électronique, archivage).
✅ Comparer les fonctionnalités essentielles (gestion des paiements, intégrations).
✅ Choisir entre SaaS ou On-Premise selon vos contraintes.
✅ Évaluer l’ergonomie et le support client.
✅ Analyser le coût total en fonction de la croissance de l’entreprise.
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Depuis 2018, la réglementation fiscale impose aux entreprises assujetties à la TVA en France d’utiliser un logiciel de facturation certifié conforme à la loi anti-fraude TVA. L’objectif de cette loi est de lutter contre la fraude à la TVA, notamment en empêchant la modification ou la suppression de factures après leur émission.
D’ici 2026, la facturation électronique deviendra une obligation légale pour les entreprises en France. Cette réforme vise à moderniser les échanges commerciaux, lutter contre la fraude à la TVA et simplifier la gestion comptable des entreprises.
Définir un projet CRM sans cahier des charges revient à naviguer sans boussole. Ce document sert avant tout à poser les bases du projet, en identifiant précisément les besoins de l’entreprise et en formalisant les attentes de chaque service concerné. Chaque entreprise a des spécificités qui influencent le choix d’un CRM : certaines ont besoin d’un suivi détaillé des interactions clients, d’autres privilégient l’automatisation des tâches commerciales, tandis que d’autres encore recherchent une intégration fluide avec leur ERP ou leur logiciel de facturation.